Nous venons vous présenter un nouveau partenariat

Nous venons vous présenter un nouveau partenariat

Partenariat : ateliers massage parents-bébés

Jejouemot’ vous présente un nouveau partenariat avec « Lily Rose » (ateliers massage bébé 0-1an, à Saint Genis Laval et à domicile)

En effet,  Audrey Saniel qui intervient sur nos ateliers Jejouemot’, est aussi instructrice en massage parent bébé certifié par l’Association Française du Massage pour Bébé. 

Retrouvez sur notre site internet www.jejouemot.fr des bons cadeaux à offrir ou à s’offrir pour une séance découverte accès sur le thème du « toucher sain et nourrissant », avec l’apprentissage des différents touchés (mains posées, contenant et relaxant).

Vous pouvez aussi vous inscrire auprès d’elle à des cycles de 5 ateliers, chaque cours étant consacré à l’apprentissage de gestes de massage pour une partie du corps, mais aussi à aborder les sujets du soulagement des coliques, des pleurs, du quotidien avec un bébé, de l’attachement et  de la motricité.

Le suivi de ce cycle donne accès à un atelier Jejouemot’ gratuitement.

Les dates à retenir :

  • 1 cycle de 5 ateliers hebdomadaire débutera le 11 mars prochain 
  • et le suivant débutera le 6 mai 

il s’agit d’ateliers d’1h30 en groupe, dans le respect des règles sanitaires.

Renseignements et inscription:

Audrey Saniel

06 73 08 98 59

audrey.saniel@outlook.com

Diaporama février 2021

Diaporama février 2021

Faire des pas avec appui

Faire des pas avec appui

Faire des pas avec appui

Faire des pas avec appui

Faire des pas avec appui

Se mettre debout librement

Se mettre debout librement

Se mettre debout librement

Se mettre debout librement

Se mettre debout librement

Faire des pas seul

Faire des pas seul

Faire des pas seul

Faire des pas seul

faire des pas seul

Marcher

Marcher

Marcher

Marcher

Enfants à la vasque, Huile sur toile, Berthe Morisot 1886

Enfants à la vasque, Huile sur toile, Berthe Morisot 1886

En 1881, Eugène Manet et Berthe Morisot font construire un immeuble familial, rue de Villejust, près de la place de l’Étoile à Paris. La fille de leurs concierges, Marthe Givaudan, pose quelques années plus tard avec Julie pour les Enfants à la vasque. Les fillettes sont représentées dans le salon de l’hôtel particulier dont on reconnaît au second plan un élégant paravent aux motifs floraux. Installées au premier plan, les petites s’amusent à la pêche à la ligne. Le vase en porcelaine de Chine bleue et blanche qui leur sert de bassin est un cadeau d’Édouard Manet à l’artiste. 

Maurice Hermel, La France libre, 28 mai 1886

La motricité libre du bébé et ses étapes découvertes par l’enfant, étape 17 : marcher

La motricité libre du bébé et ses étapes découvertes par l’enfant, étape 17 : marcher

Marcher !

Et voici le petit enfant marcheur : il se déplace la plupart du temps en marchant,
pendant le jeu, de sa propre initiative, sans aide ni encouragement : il lâche ses
appuis et fait plusieurs pas continus.
Il pose un pied au sol, déplace le poids de son corps sur la jambe d’appui, lève
l’autre pied et le pose plus loin, ses genoux sont souples ; ses deux bras sont
écartés à l’horizontale, coudes fléchis et avant-bras vers l’avant, mains face au sol :
le parachute est ouvert !! Sa tête et son buste sont droits et son regard fixé droit
devant.
Sa marche s’organise dans une coordination complexe de tout son corps issue des
étapes précédentes : alternance des appuis des pieds au sol, bascule du poids du
corps d’un côté et de l’autre dans un juste équilibre, balancier des bras à
l’horizontale, verticale du tronc et de la tête là aussi pour maintenir l’équilibre avec
balayage du regard dans l’espace.
Puis, le petit enfant marche avec les bras et coudes contre le tronc, les avant-bras
encore à l’horizontal ; puis ses bras se déplient le long du corps jusqu’à se balancer
naturellement en alternance avec les jambes : jambe droite et bras gauche
ensemble, jambe gauche et bras droit ensemble et ainsi de suite…
Il répète encore et encore ces mouvements dans ce déplacement. Confiance et
plaisir sont au rendez-vous dans une marche libre et assurée.

 

Étape 17, marcher : qui fait la marche, les pieds ou les chaussures ?

Étape 17, marcher : qui fait la marche, les pieds ou les chaussures ?

Pour cette étape, mettons l’accent sur le pied nu, les chaussons et les chaussures.
Pensons en effet à mettre notre enfant pieds nus, afin qu’il soit directement au
contact du sol, de ses nuances de matière, de température, de densité, dedans
comme dehors : plancher, carrelage, tapis, herbe, sable et autres… Tous les
nombreux petits muscles de ses pieds s’ajustent ainsi ensemble à ces variations et
organisent en permanence très finement l’équilibre global du corps.

La revue Spirale n° 96 de Janvier 2021 sur « Les habits de bébé » dans l’article
« Vêtements et motricité de A à Z » nous parle du pied nu :
« Les pieds, composés chacun de 26 os, portent tout le corps. Pour bien les
connaître et les utiliser, aller NU PIED ou pieds nus est excellent, tout le temps, la
journée durant, à la maison bien entendu mais aussi dehors si le temps et le sol le
permettent ! Allongé sur le sol, bébé les touche, les saisit, les porte en bouche. Ils
sont ses appuis lors des déplacements et ses points d’équilibre lorsqu’il est debout.
Être pieds nus permet à bébé de se propulser, de ne pas glisser, de sentir chaque
orteil, la plante du pied, le talon, le dessus du pied, l’articulation de la cheville. Il est
alors en contact direct avec les différents supports, matériaux, températures et
reliefs du sol.

Lui mettre des chaussettes par exemple ferait écran et le couperait de
ses sensations fines et de ses ajustements moteurs (…) Et s’il fait froid, reportons-
nous à ce qui est dit au sujet des chaussons souples… »
« Les CHAUSSONS SOUPLES enveloppent et gardent les pieds au chaud,
assurant ainsi leur plein CONFORT au contact d’un sol froid. Constitués d’un
élastique au niveau de la cheville et d’une semelle souple, ils favorisent
mouvements et contacts directs des pieds avec le sol : les orteils peuvent bouger
librement et les chevilles tourner complètement pour ajuster constamment
l’équilibre global du corps. Les plantes des pieds restent actives dans des
mouvements variés, elles s’étalent à plat sur le sol, se recroquevillent, se portent
en avant, en arrière et sur les côtés.
C’est pour la même aisance des pieds, points d’ancrage du corps dans le sol et
acteurs dynamiques de l’équilibre du corps tout entier, que les CHAUSSURES
BASSES sont à privilégier pour l’enfant lorsqu’il marche librement. Pour les
promenades à pied, il faut que les chaussures « aillent bien », qu’elles ne soient ni
trop petites au risque de comprimer les orteils de l’enfant ni trop grandes afin qu’il
les garde bien. Ce sont les multiples actions des pieds qui font la marche et non
les chaussures ! Les chevilles ont besoin d’être libres pour pouvoir jouer leur rôle
de rééquilibrage constant dans les situations que rencontre l’enfant dans sa
journée : marcher, lever et poser alternativement chaque pied, s’arrêter, monter et
descendre un obstacle, une marche, un escalier, sauter, se rétablir sur un terrain
accidenté, en montée, en descente. Pour faciliter tous ces mouvements et
réajustements, la chaussure basse laisse toute amplitude aux chevilles et conserve
son propre rôle principal qui est de protéger les pieds des risques de blessures et
des variations de température. »

Retrouvez un extrait de cette revue dans nos « lectures à voix haute » de
BiblioMot’ ! Vous pouvez l’emprunter gratuitement pour la lire toute entière !!