
Exposition “sur la piste de Sioux” au musée des confluences
Vous pourrez notamment voir en vitrine les mocassins des petits indiens qui ressemblent bien aux petits chaussons en cuir que portent les petits enfants aujourd’hui.
Vous pourrez notamment voir en vitrine les mocassins des petits indiens qui ressemblent bien aux petits chaussons en cuir que portent les petits enfants aujourd’hui.
Une femme aidant un enfant à se tenir debout
On peut voir un cercle tenu par des lanières qui entoure la tête de l’enfant.
Peut-être pour le protéger en cas de chutes… ?
Typique de l’artisanat hongrois, ces deux petits bébés ont fait l’objet d’un travail minutieux. Chaque détail est soigné, du visage dessiné au crayon aux broderies. Le tout tient dans le creux de la main.
Champ de bataille, Timoléon Lobrichon ( 1831-1914)
Peintre et illustrateur français célèbre pour ses représentations de l’enfance
A gauche : robe de garçon en broderie anglaise, Angleterre 1855
A droite : portrait du Prince Impérial Louis-Napoléon sur un cheval de bois. Photographe anonyme, 1858 le Prince à environ 2 ans
Du XVIIe siècle à 1914, à un moment de leur petite enfance, tous les garçons passent par l’intermédiaire de la robe à un moment de leur petite enfance.
Dans la société de l’Ancien Régime, le modèle du vêtement est celui des adultes. On ne considère pas avant le XVIIIe siècle que l’enfant ait besoin d’une garde-robe spécifique. Le vêtement des enfants est perçu comme une miniaturisation de celui de l’adulte, surtout lorsque l’enfant a un rôle de représentation. Entre cinq et sept ans, le petit garçon reçoit l’habit et la culotte.
La robe est la solution la plus pratique pour habiller l’enfant tant qu’il ne maîtrise pas la propreté.
Jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, les garçons sont successivement vêtus de leur maillot de bébé, puis d’une robe semblable à celle de leur mère et de leurs sœurs, puis d’une jaquette, lorsqu’ils entrent à l’école ou au collège. La jaquette est une sorte de blouse ou soutane, moins longue et moins ajustée que la robe des filles. Elle est remplacée vers 1780 par le costume en matelot.
Article tiré du site internet ” les Petites Mains, histoire de mode enfantine“
Cette statue se trouve devant le 1434 rue Sherbrooke Ouest, à Montréal.
Il existe au moins deux autres bancs identiques ou presque, un premier se trouve sur la rue U Zvonarky à Prague, devant l’hôtel « Le Palais » et un second, intitulé Mother and Child Joy of Life, prend place devant le St Joseph’s Health Center à Toronto.
Léa Vivot est une artiste ontarienne d’origine tchécoslovaque.